Lait de vache, un produit nocif
Il était une fois une denrée restée ignorée jusque vers la fin du 18ème siècle: le lait de vache. Il représente aujourd'hui l'un des plus gros segments du marché de l'agroalimentaire avec tous ses dérivés (tous les produits laitiers ou contenant du lait). A l'heure où les conseils des nutritionnistes sont devenus des vérités premières, le lait a établi son règne de monarque absolu.
Je propose, par chapitres, de vous faire participer à une lente remise en question sur les effets du lait, soigneusement cachés par la publicité, et à comprendre pourquoi les arguments des industriels et des nutritionnistes pour consommer plus de laitages sont mensongers, pire: dangereux.
De nombreux troubles peuvent être occasionnés ou acrus par le lait et ses dérivés:
Acnée, asthme, eczéma, points noirs, boutons, peau et cheveux gras, toux, glaires, nez bouché, nez qui coule, sinusites, ostéoporose, jambes sans repos, mauvaises odeurs corporelles, polyarthrite, douleur des règles, maladies cardiovasculaires, cancer du sein, cancer de la prostate, maladies auto-immunes...
Le choix est vaste, lequel pour vous?
C'est une histoire qui, à la lumière de tous les éléments, fait peur, mais ce n'est pas une fiction...
Je précise que je n'ai pas de formation médicale, mais que tout cela est le fruit d'une recherche personnelle basée sur des données accessibles.
1. C'est quoi le lait de vache?
Ben oui, c'est quoi? Tout simplement le lait que fabrique le corps de la vache pour son veau qui vient naître!
Ca revient à dire: l'aliment naturel idéal pour la croissance du veau. Et oui!!! Grâce au meilleur de sa maman, le veau double son poids en 47 jours, car le lait de vache contient 3,3% de protéines.
Et l'homme alors?
Eh bien l'homme a besoin du lait maternel pour son développement et sa croissance de 0 à 3 ans. Ce lait (humain) contient 1,2% de protéines et le bébé met 180 jours pour doubler son poids.
La composition du lait est spécifique pour chaque espèce répondant à des nécessités nutritives particulières. A la lumière de cette réflexion il est donc évident sans même entrer dans les détails que le lait de vache sera en décalage avec nos besoins et qu'il est par conséquent loin d'être idéal!
L'allaitement -car il faut bien en parler puisque le lait de vache est le produit issu du processus de la naissance d'un petit- est une période durant laquelle à travers le lait le petit va continuer à recevoir, tout comme pendant la gestation à travers le cordon ombilical, des informations, des nutriments, des apports de la mère à l'enfant. Or le code génétique contenu dans le lait de vache est proprement inadapté à l'humain!
Avant le début de l'agriculture intensive, les mères refusaient le lait de vache pour leurs enfants le considérant inadéquat. Si elles ne pouvaient les allaiter elles-mêmes, ils étaient confiés à des nourrices. C'est que nos prédécesseurs craignaient aussi de se voir pousser des cornes ou une queue! Il faut dire, après avoir bien ri, qu'ils n'avaient pas tellement tort...
Non qu'il puisse nous arriver de constater la pousse de tels appendices, mais le lait de vache produit effectivement des troubles sur nos corps liés à son inadéquation avec nos organismes.
2. Lait et besoins physiologiques
Le saviez-vous?
Au-delà de 3 ans, notre corps d'humain n'est pas conçu pour consommer du lait (quel qu'il soit)! Ca vous la coupe, hein? Quand la Nature a créé les glandes mammaires pour alimenter les bébés, c'est pour leur pourvoir du lait temporairement.
Alors rien de ce qu'on peut entendre ne justifie cette consommation: pour vivre, et être en bonne santé, à partir de 4 ans plus besoin de lait!
Nous sommes d'ailleurs, nous les humains, les seuls mammifères à consommer encore du lait à l'âge adulte.
3. Lait et fonction hormonale
La présence d'hormones spécifiquement bovines, porteuses d'infos (prise de poids rapide) est perturbatrice des fonctions hormonales du bébé réglées par l'hypophyse. Ainsi, une seule goutte de lait, même cachée dans un gâteau, suffit à dérégler le processus du métabolisme.
Ce qui fait du lait un aliment plus dangereux que la viande de ce point de vue.
4. Lait: un déminéralisant
Les protéines du lait transmettent une information spécifique à l'espèce qui permet l'élaboration de l'osséine = la capacité des os à retenir les minéraux. Comme l'information délivrée par les protéines du lait de vache est inadaptée à l'homme, l'organisme d'un bébé privé de lait humain et consommant le lait de vache ne disposera pas de l'information correcte pour fabriquer son osséine et ne pourra se minéraliser correctement.
Enfant puis adulte, il éliminera de manière excessive, par manque d'osséine, les sels minéraux contenus dans le sang et les déposera dans les tissus, devenant sujets aux calculs, kystes et autres indurations.
Il faut savoir que le pouvoir minéralisant du lait est surfait: pasteurisés, stérilisés, uht, ils sont dévitalisés et leurs sels minéraux sont devenus pratiquement inutilisables pour les métabolismes.
5. Lait de vache et calcium: un argument incontournable et faux!
Le calcium contenu dans le lait de vache ne peut être correctement assimilé par l'être humain du fait du défaut d'osséine abordé au-dessus.
En outre, la trop grande richesse en calcium du lait de vache inhibe totalement l'action du magnésium (affaiblissement des cellules nerveuses et musculaires).
6. Lait: indigeste pour l'homme
L'estomac humain adulte ne contient pas la présure (= substance présente chez les jeunes ruminants) contenant une enzyme qui dans l'estomac du veau permet de cailler le lait. Il nous faut donc fabriquer de la lactase en grande quantité pour qu'il puisse être digéré. Pendant ce temps le processus de la digestion reste bloqué et les fermentations et débuts de putréfaction se déclenchent.
Quel bonheur!
7. Graisses saturées
Le lait de vache fatigue fortement le foie à causes de ses grosses molécules lipidiques et n'apportent pas au cerveau la qualité de graisses permettant son développement. Avec tout mon respect, le veau n'est pas fait pour avoir un cerveau aussi développé que l'homme...
Le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s'y ajouter par l'alimentation. C'est pourquoi lors d'une maladie, il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin d'en venir à la guérison.
8. Pauvreté en lactose
Comparé au lait humain, le lait de vache est pauvre en lactose, et par là responsable d'un déséquilibre de la flore intestinale et d'une chute importante de la protection contre les germes pathogènes chez le bébé.
9. Lait de vache et bambins: diabète en chemin
Le corps humain réagit naturellement à la présence de la protéine du lait appelée "sérum albumine bovin" par une production d'anticorps, réaction détruisant au passage les cellules bêta (parce que presque similaires), cellules qui produisent de l'insuline. D'où apparition du diabète...
En gros, la lait de vache provoque une réaction de notre organisme qui entraîne une forme d'auto-destruction!
10. Cancers
prostate et sein
11. Lait de vache et facteurs toxiques ajoutés
Il est beau le temps révolu de la vache broutant dans un pré et de son fermier l'emmenant à la traite à l'étable muni d'un seau et d'un tabouret!... Pour ceux qui en rêvent encore, âmes sensibles s'abstenir!
Si la publicité et le concept occidental font du lait un aliment sain et essentiel, les traitements qu'on lui prodigue sont alarmants: pesticides, insecticides, antibiotiques, corticoïdes...
Le calvaire des vaches: du lait jusqu'à son dernier souffle. Une vache vit en principe 20 ans, avec les procédés d'exploitation du lait, elle ne vit que 3 ans, abattue pour cause de stérilité ou de mauvais rendement (un peu épuisée, la bête! et super qualité la viande)!!! Elles sont condamnées à produire du lait en continu (au lieu d'en fournir uniquement pendant la période d'allaitement de son veau, cad 6 mois), à manger des aliments préparés (adieu herbe fraîche) et enrichies, dans des boxes exigüs, séparées de leur veau bien sûr, inséminées artificiellement d'une vache à l'autre (injections d'hormones pour superovulation),... et avec tout ça vous croyez vraiment que la maladie de la vache folle est un virus???
D'autre part, la pasteurisation est un leurre. Lorsque des conditions telles que le traitement par la chaleur ne conviennent pas aux bactéries, elles se forment des spores qui les protègent de l'ébouillantage, des antibiotiques et des germicides. Lorsque le lait refroidit et que les conditions sont favorables à leur croissance, ces bactéries retrouvent leur état d'origine. Que penser alors du biberon que vous gardez à température ambiante parce que votre bébé s'est endormi ou fait une grande pause, et que vous lui reproposez 1h ou plus après?! De votre verre de lait? Du fromage pasteurisé conseillé aux femmes enceintes parce que "sans risques"?...
12. Evolution pathologique: du bébé à l'adulte, les allergies, les troubles, puis les maladies
Votre bébé ou enfant est allergique?
On va probablement vous conseiller d'opter pour un autre lait (soja) ce qui est très bien, puis de retenter le lait de vache plus tard. Erreur!!! Vous constaterez sans doute que tout est rentré dans l'ordre... eh bien non!)
Une alimentation à base de lait de vache est cause d'un trouble organique chez le bébé (diarrhées), suivi d'une périodes de troubles pathologiques plus ou moins importants, puis d'une apparente adaptation qui cache en fait de nombreux déséquilibres fonctionnels qui perdureront la vie durant.
L'encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL. A la puberté l'adolescent soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau (acné). Adulte, l'iflammation se propagera vers la sphère digestive.
Le processus continue, alimenté par l'absorption de toxines (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibio)... Les maladies en -ites évolueront en maladies en -oses. Ou comment transformer des maladies aigues en maladies chroniques avec l'aide de la médecine allopathique (=dite moderne, opposée à la médecine homéopathique*).
* sujet d'une autre prochaine rubrique
Conclusion
La publicité massive que l'industrie du lait propage sous des prétextes nutritionnels essentiels et garants de santé est donc fausse: notre corps n'en a pas besoin après la petite enfance car il trouvera ce qu'il lui faut dans d'autres aliments, la nature et la composition du lait de vache déclenche des maladies chez l'humain, et enfin les méthodes employées aujourd'hui pour l'industrie du lait sont extrêmement néfastes!
L'idéal serait de ne pas consommer du tout de produits laitiers (y compris d'éliminer tous les aliments industriels qui en contiennent: biscuits, brioches, chocolats, gratins, pizzas... etc) ce qui, il faut en convenir, éliminerait en fait pratiquement tout ce que la moyenne des français consomment aujourd'hui (et notre sacro-saint fromage!).
Un effort de diminution de cette consommation ne peut qu'être bénéfique pour notre santé (et non de suivre le mythe de consommation essentielle).
Et surtout, ces produits devraient être impérativement biologiques afin d'éviter de conjuguer les effets néfastes du lait en lui-même avec les pollutions volontaires de l'industrie.
Pour ma part, nous avons presque éliminé le lait de vache de notre alimentation quotidienne, et notre consommation se résume à un peu de gruyère râpé ou parmesan ou mozza, du fromage pour le dessert rarement, la chantilly pour une occasion, bio bien sûr. Pour le reste: lait de soja, crême de soja, et autres plats tournés vers les céréales, fruits et légumes. Et c'est un plaisir renouvelé de partager des plats généreux, pleins de saveurs, de fraîcheur, et de bien-être!
Enfin, j'ajoute et termine en déclarant que je n'ai rien contre les vaches, au contraire, laissons-les tranquilles! Quel beau panorama qu'un paysage vert planté de quelques vaches paisibles et le doux tintement de leurs cloches...